|-----FRAISSE, Raymond (Sosa 512) |-----FRAISSE de BORDEAUX, Pierre (Sosa 256) |-----ROQUETTE, Marie (Sosa 513)
FRAISSE, Louis François (Sosa 128)
|-----BOTTU de LA FÉRANDIÈRE, Estienne | (Sosa 514) |-----BOTTU de LA FÉRANDIÈRE, Marianne (Sosa 257) |-----de MARININ, Marie Anne (Sosa 515)
| Naissance: 26 avril 1709 à Nemours,77, Seine et Marne Source: Source n° 57 Décès: 28 avril 1778 à Egreville,77620,Election de Nemours,Rue du Grand Marché (Witness) DUPAYS, Etienne Jacques (Witness) FRAISSE, Jean-François (Witness) PINET, Philippe Denis (Witness) PINET, Philippe Source: Source n° 59 Profession: Fermier Général du Comté d'Egreville : Il vend le château de son père à Bordeaux en Gâtinais. Remarque : Jusqu'en 1742 Louis François FRAISSE est seigneur de Bordeaux en Gâtinais et s'appelle FRAISSE de BORDEAUX. Acte notarié de rembourcement: 5 novembre 1759 à Bordeaux en Gâtinais,45,Loiret, France Source: Source n° 58
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Famille FRAISSE - MAUGIRARD | Mariage: 14 juin 1740 à Nemours,77, Seine et Marne Source: Source n° 8
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|-----MAUGIRARD, François (Sosa 516) |-----MAUGIRARD, Pierre (Sosa 258) |-----LECLER, Jeanne (Sosa 517)
MAUGIRARD, Anne-Catherine (Sosa 129)
|-----DELON, Pierre (Sosa 518) |-----DELON, Catherine (Sosa 259) |-----BORDIER, Anne (Sosa 519)
| Naissance: vers 1719 Décès: 12 juin 1764 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 18 Profession: vivant rue du grand marché à Egreville
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Les 12 enfants du couple FRAISSE - MAUGIRARD | |
FRAISSE, Louis Pierre | Naissance: 30 mars 1741 à Nemours,77, Seine et Marne,France Source: Source n° 32 Baptême: 30 mars 1741 à Nemours,77, Seine et Marne Source: Source n° 32 Décès: 10 avril 1743 à Egreville,77620,Election de Nemours (Witness) DELON, Catherine Source: Source n° 65
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FRAISSE, Jean-François × 1775 PINET, Marie Catherine | °24 avril 1742 Egreville,77620,Election de Nemours - 28 mai 1808 Sens,89000,Yonne |
FRAISSE, Marie Etienne | Naissance: 15 août 1743 à Egreville,77620,Election de Nemours,Election de Nemours Source: Source n° 69 Baptême: 17 août 1743 à Egreville,77620,Election de Nemours,Election de Nemours Source: Source n° 69 Décès: après 1803 à Sens?,89 Lettre de Marie Etienne après son premier départ de St Domingue, lorsqu'il est prisonnier des Anglais à Londre. Page 1 : A Londres le 10 may 1794, l'an 2 de la république une et indivisible L'incertitude dans la quelle je suis, mes chères amies, sur votre sort et celui de nos cinq petits orphelins, m'est plus sensible que tous les malheurs que nous avons éprouvés depuis trois ans. Je ne sais ou me conduira ce cruel sentiment de douleur il en est de même j'en suis bien sur, de vous à notre sujet ; je veux donc encore une fois essayer de vous tranquilliser au moins sur ce point ne pouvant à aucun autre égard soulager vos maux, ne le pouvant peut être pas même si je pouvais me rendre auprès de vous. Les suites d'une maladie que j'ai faite en janvier et février de l'année dernière ((janvier et février 1793)) M'eussent bientôt conduit à une mort certaine si je me fusses entêté plus longtemps comme je faisois à ne pas changer de climat, Je suis donc parti le 13 juillet pour New York quatre jours après j'ai été dépouillé par les corsaires anglais du peu que j'emportais. Je suis donc arrivé sans le sol le 5 août à New York un des état unis de l'Amérique, ami de notre république, un ami qui à pourvu à mes besoins. J'en étais parti le 25 octobre pour aller vous joindre sur un navire qui était expédié pour se rendre en droiture au hâvre de grâce mais sous soupçon qu'il était chargé de propriétés françoises, il a été arrêté par un corsaire anglais qui nous a fait prisonnier de guerre onze passagers que nous étions et nous a débarqués Le 10 xbre à Liverpool après s'être emparé de tous nos papiers, nous avons bientôt obtenu de nous rendre ici pour les réclamer à l'amirauté sans avoir pu les obtenir encore ceux qui me sont retenu sont les papiers de famille de nos pauvres orphelins, leurs titres de propriété et les miens et des pièces avec les quelles j'allais régler des Page 2 : Affaires en France : je ne peux donc m'y rendre sans emporter tout cela avec moi et quant on me remettrait le tout demain je ne pourrais obtenir de passeport peut être ne le pourrais-je qu'à la paix me voici donc après trente et un ans ((depuis 1763)) d'absence à 60 lieux de ma chère patrie sans savoir quand je pourrais y remettre les pieds. J'avais laissé notre cher Fontaine malade mais j'ai eu indirectement de ses nouvelles, de la fin d'octobre il faisait mieux se rétablissait. Loin de lui il me semble qu'une partie de mon corps est séparé de l'autre. Ce serait sans doute un grand soulagement des peines que j'endure que de recevoir de vos nouvelles mais je ne sais si je dois vous engager à m'écrire en tout cas faite passer vos lettres très courtes au bon parent de Paris qui vous ont témoignés de l'attachement, il les lira et les acheminera s'il le peut ou s'il le juge à propos. Hélas je vais au devant de tout ce qui peut encore le plus déchirer mon coeur, des certitudes de notre existence, de notre frère, de nos soeurs de nos neveux, voilà tout ce que je vous demande supportons nos maux avec résignation et espérons en la providence. Je vous embrasse tous bien tendrement. N'ayez aucune inquiétude à mon sujet mon sort au pis aller serait d'être réduit à la ration des prisonniers mais si elle est frugale elle est saine et suffisante et ayant été pris passager j'aurais toujours une ville comme prison, même une lieu aux environs. Ce qui m'inquiète le plus est où trouver quinze à vingt Louis pour payer mon passage lorsque j'aurais obtenu un passeport ce qui selon toutes les apparences ne sera pas de si tôt Voici comme il faut mettre mon adresse : A M. Marie Etienne Fraisse prisonnier de guerre, Puis mettre une enveloppe dans le même plis et la même forme que celle ci sur la quelle vous écrivez : ..................A Mrs Simond et Hauhey .................Négociant mineinglane Nø7 .......... ...............à Londres. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Mort de Pierre Aux Cayes St Louis le 10 Messidor An 11 (29.6.1803) : Photocopie de l'acte Parvenue à moi fraisse ainé à Sens, 9 frimaire an 12 ((1.12.1803)) au nom de la république française Extrait du registre des décès de la commune des Cayes, département du sud de SteDomingue, Du onze messidor l'an onze de la république française onze heure du matin. Acte de décès de pierre Marie fraisse, décédé en cette ville hier au soir à onze heures du soir, agé de cinquantetrois ans natif d'Egreville département deseine et marne, habitant de la commune de cavaillon réfugié en cette ville fils légitime de Louis françois fraisse, décèdé et de Catherine Maugirard,suivant la déclaration faite par devant moi, jean pierre Desmares officier de l'état civil, par le citoyen Marie Etienne fraisse agé de soixante ans habitant de cette commune, frère du décèdé,et par les citoyens jacques Laurent La place dessource agé de cinquante huit ans habitant de Cavaillon réfugié en cette ville, et pierre Toirac agé de cinquante cinq ans officier de santétémoins qui ont signé après lecture au bas du présent, ainsi signé au registre M E fraisse, la place dessouras toirac, et desmares officier de l'état Civil, CollationnéDesmares Vu par nousambroise gonin, juge président du tribunal de première instance des cayes département du sud de St domingue, ou le papier timbré et l'enregistrement ne sont point en usage, pour legalisation,de la signature du citoyen Desmares officier de l'état civil, dans la commune des Cayes, Donné aux Cayes le seize messidor an onze de la république, française une et indivisible. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------- LETTRE de Marie Etienne du 17 messidor de l'an 11 : (le 6.7.1803) recue par son frère ainé à Sens le 9 frimaire an 12 :(le 1.12.1803); Page 1 : reçu à sens le 9 frimaire an 12 Aux cayes st louis ce 17 Messidor an 11 Feu mon frère Pierre fraisse icy le 10 du courant possèdoit indivisément avec moi et chacun pour moitié tant dans l'immeuble que le mobilier une habitation établie en cafériere sise paroisse de cavaillon au quartier de la Ravine blanche. Notre acte de société fait double sous signature privée est du 8 septembre 1788 en présence de trois témoins dont feu notre frère Louis Jérôme fut l'un. Nous déclarames faire cette société à vie en tant qu'il fut en nous mais au moins pour neuf ans. Voicy copie du cinquième et dernier article ; Convenant expressément que le cas arrivant du décès de l'un de nous le survivant aura la gestion pendant un an à la charge d'en rendre compte à qui de droit et au bout de la dite année en par lui justifiant qu'il aura fait connoitre le décès aux héritier hors qu'il n'en soit empêché par la guerre, il aura la faculté de prendre et acquérir la moitié des meubles et immeubles en la dite société ayant appartenu au prédécédé au prix que le tout sera estimé au plus bas prix comme pour payer argent comptant en un seul payement le jour même de l'estimation, mais aura la faculté de payer qu'en quatre ans par termes égaux en par lui s'obligeant de payer les intérêts à cinq pour cent au fur et à mesure des payements, aura en outre la faculté d'acquérir à ces conditions la portion en terre, culture et bâtiments, enfin celle immobilière seulement s'il ne lui convient pas d'acheter aussi la proportion en nègres, bestiaux et ustensiles. Renonçant à pouvoir rien changer à la présente convention par dispositions testamentaires ou par mariage que notre commun consentement, dans aucun cas l'un de nous ne pourra vendre sa portion qu'aux conditions cy dessus. Fait double et. Le douze may mil sept cent soixante douze nous avons conjointement déposé un des deux doubles de ce sous seing privé au rang des minutes de Mr Domergue notaire aux Cayes sous le Nø 3404. Cinq jours après, le 17 may nous fîmes ou déposâmes tous les deux chacun séparément nos testaments au rapport du même notaire et nous nous les étions communiqués avant ; nos dispositions, les mêmes quant au fond étant légataire universel l'un de l'autre), différoient cependant quant à la Page 2 : qualité des legs, mon frère me dit qu'il m'en, chargeoit moins pour m'indemni ser de que j'avois fait et qu'il n'avoit pu faire ou cru pouvoir différer. Il a donc donné particuliairement par ce testament, Quatre mille cinq cents livres à chacun de nos cinq frères et soeurs lors vivants réversibles de ceux mariés à leurs enfants et ceux des legs à Thérèse et Françoise de l'une à l'autre. Plus de six milles livres à chacun des cinq enfants orphelins de feu notre frère Louis Jérôme réversibles des uns aux autres en cas de mort avant d'avoir disposé valablement. Plus deux milles livres à un domestique. Tous ces legs sélevoient donc ensemble à cinquante quatre mille cinq cent livres argent de st. Domingue ou trente six mille trois cent trente trois livres six sols huit deniers Tournois qui avec environ dix huit à vingt mille livres pour ce qu'il devoit payer des dettes sociales et quelques très légères personnelles que la récolte de 1791, si elles n'eut été pillée en magasin, eut presque entièrement acquittées, ensemble eussent fait toutes les charges de sa succession. Ce bien composé de 225 même 235 carreaux de terre de trois arpents 1/16 ème chaques est tout en montagne mais la très majeur partie de douce exploita tion cultivable. Si il y a des cantons très mauvais il y en a d'autres de très excellentes qualités pour le caféier et où il résistera de très longues années au lieu que dans la plus grande étendue il pourra périr plus tôt. Enfin ensemble il forme un bon bien de ressource mais en le divisant il perdrait gros de sa valeur. Chaque portion deviendront de très dure exploitation par les entourages qu'il faudrait faire, l'eau qui ne se trouve qu'à une extrémité en tout temps et la difficulté qu'il y aurait à la partager également le bon et le mauvais dans les deux portions. Voilà pourquoi nous étions expressément convenu que cette habitation n'appartienne enfin qu'à un. En 1791 avant les troubles ce bien étoit planté de quatre vingt milles pieds de caféiers tous jeunes dont cependant environ 60 mille pieds en rapport qui eussent produit environ soixante cinq milliers de café si on eut pu faire la récolte de 1791. Les montures consistoient en environ cinquante cinq noirs de tout âges au dessous de 48 ans et très peu de petits enfants, plus dix mulets une vingtaine de bestes à cornes et au moins le double de moutons. Les établissements étoient suffisants pour l'exploitation de 80 milliers de café sauf peut être quelques petites augmentations.La maison principale et toute celles d'aisance étoient peu de chose et il n'y avoit en ustensiles que le plus nécessaire. Le tout avant les troubles eut pu être estimé de 300 à 360 milles livres suivant qu'il y eu plus ou moins de comptant. Mais en May 1792, lorsque nous fîmes nos testaments les troupeaux et ustensiles avoient déjà disparu par le pillage. Il n'y avoit qu'un commencement page 3 : d'apparence du retour à quelque ordre qui pu faire mettre un prix en imagination à ces sortes de biens. Celui cy n'étoit pas brûlé mais il pouvoit l'être et les cultures avoient été si négligées que la récolte de 1792 fut très peu de chose. Cette habitation forcément abandonnée par les propriétaires en 1793 est tombée dans un tel dépérissement entre les mains des séquestres et fermiers qu'il n'y a été récolté l'année des dernière que six sept milliers de café inférieur Les soins de mon frère depuis le 1er 7bre que nous nous étions mis au lieu et place du fermier qui devoit déjà 3000 de ferme à la république, avoient déjà tellement rétabli toutes les cultures qui étoient susceptibles de l'être qu'une récolte de quarante milliers sembloit infaillible pour cette année. Mais il a encore fallu abandonner ce bien le 19 janvier et depuis nous n'en avons vu que le plus haut des montagnes et de très grandes fumées qui ont semblée sur la direction des establissements nous n'en avons pas même eu aucune nouvelle non plus qu'aucuns autres habitants de chez eux. Dans cette état de chose quelle valeur peux t'ont donner à ces sortes de biens ? Aucun ne se croit assez bon politique pour oser en hasarder une et beaucoup penseront qu'elle pourrait être nulle. Quoi qu'il en puisse être, je crois que pour le mieux des intérêts de mon frère aîné celui de mes soeurs et de mes neveux, autant et peut être plus que pour les miens il convient que le plus tôt possible je devienne le seul propriétaire de ce bien, que je puisse le vendre en totalité ou en partie et par portion ainsi que les occasions pourront se présenter. De cette manière on pourroit se procurer si le pays devient à nouveau quelque chose, des secours pour rétablir et remonter cette habitation et la laisser encore très productive et point trop gastée, des secours pour autre usage. Je prie donc mon frère aîné et mes soeurs de n'être pas fâchés si je leur fais notifier ou s'il leur est notifié en mon nom le décès de notre frère pierre afin que si bon leur semble ils aient à faire trouver de leurs fondés de pouvoir sur les lieux pour y être en leur présence ou eux appelés à procéder à l'estimation à la fin de l'année révolue après le décès ou au plus tôt si bon leur semble, dans le cas ou je voudrois user de la faculté que nous sommes mon dit frère et moi réservés et réciproquement accordée que le survivant devienne seul propriétaire du tout et puisse prendre et acquérir la moitié ayant appartenu au décédé. Je me borne pour le moment à faire homologuer le testament au chef d'exécution testamentaire seulement je différerai à me décider sur la qualité de légataire universel désirant connaître avant comment mon frère et mes soeurs envisageront la circonstance et la convenance de ces dispositions. Page 4 Nous sentions bien mon frère et moi que nos dispositions de 1972 au vue de nous procurer à l'un et à l'autre la tranquillité ne le pouvait plus dans un temps où la valeur des choses étoit devenue si incertaines et peut être nulle. Nous nous proposions de faire donc l'un et l'autre de faire de nouvelles dispositions. Mon frère devoit le faire le lendemain du jour qu'il est mort. Un grand mieux apparent dans son état ne laissoit pas craindre ni prévoir la rupture d'une des bronches qui l'a emporté en quelques secondes. C'est avec une bien grande répugnance que j'emploie le mot de notification à mon frère aîné et à mes soeurs. Que j'y songe seulement, ils seront assez affectés de quelques manières que cette triste nouvelle leur soit annoncée Mais des formes peuvent être jugées nécessaires : je ne sais vis à vis de qui je peux me trouver un jour. Je suis bien persuadé que ceux qui m'ont connu me rendront justice et seront persuadés que ce que je désire est en vue du plus grand avantage et tranquillité de tous. ......................................................................M.E.FRAISSE ---------------------- (C'est sûrement par erreur que notre frère dit qu'ils ont conjointement déposé un des deux doubles de leur sous seing privé le douze may mil sept cent soixante douze : ça ne peut être puisque ce seing privé n'a été fait que le 8. 7bre 1788). --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Lettre de Marie Etienne à son frère aîné (Jean François) demeurant à Sens : Le 21 messidor an 11 : (le 10.7.1803). Page 1 : reçu à sens le 9 frimaire ......an 12 aux cayes st louis sud st Domingue le 21 Messidor an 11. Tu m'as marqué mon cher frère que la providence t'a inspiré la résignation à tous ses décrets. Qu'elle veuille donc te soutenir. Depuis dix ans je ne comptois sur notre frère fontaine qu'à mesure que je le voyois. Mais surtout depuis son naufrage il eut fallu de la tranquillité pour suivre un long régime convenable et un peu de contentement. Hélas nous n'avons eu ny l'un ny l'autre. Il a succombé le 10 à onze heures du soir à d'anciennes infirmités et depuis peu à une toux faisoit mieux et n'annonçoit pas une fin si proche semblant même beaucoup mieux, deux heures après que je l'eus quitté sans crainte le laissant plus tranquille que depuis longtemps même gaie une des bronches a rompue et il a passé en quelques secondes. Il disait depuis longtemps heureux ceux qui meurt et icy il pouvait avoir raison. Me voilà donc sans compagnie. Celui qui m'en a tenu une si constante depuis huit ans de peine n'est plus. Il faut bien se résigner. Je te renvoye à la feuille cy incluse. Il suffira. Non je ne peux rien t'écrire de plus Des lettres parties sont interceptées. Je n'y peu suppléer par une occasion que je ne prévois pas et qui n'est rien moins que sure, ne sois cependant pas surpris de ne recevoir de mes lettres de longtemps. Nous n'avons plus pas un seul navire françois icy et les communications par terre de la colonie sont interrompues. Persévérons dans la résignation mon cher ami. Je t'embrasse mille fois et tout ce que tu as de plus cher. Ton affectionné frère M.E Fraisse Ce sera nécessité que tu communique toi même à tous cette cruelle nouvelle. Voilà tout ce que je peux écrire bien précipitamment et peut être de bien longtemps. Je prie donc mes soeurs et tous que celle ci leur soit commune. Croyez tous tout ce que vous dira ou vous écrira mon bon ami Mr cotelle comme ce que vous dirois moi-même et mieux quant aux conseils. Soit bien tranquille à l'égard de ta chère fille. J'en ai reçu une lettre en May. Elle est heureuse et contente autant que ton éloignement le permette. J'ai fini toutes affaires avec Mrs Emangard. Hélas cela a été bien facile. Tous les miens leur doivent de partager à jamais mes sentiments d'affection et de reconnaissance........... Je n'ai pas encore fini avec la maison La Borde page 2 : quelques pièces précieuse que j'ai eu bien de la peine à retrouver en sont la cause. Mais tout est prêt Nous nous assemblerons sous trois jours et il est ordonné de suivre la forme juridique c'est celle par arbitres qui ne souffrira pas j'espère de difficultés. Naissance: 1793 Source: Source n° 70 Evénement: Source: Source n° 70
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FRAISSE, Louis François | Naissance: 4 septembre 1744 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 60 Baptême: 4 septembre 1744 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 60 Décès: 7 décembre 1744 à Egreville,77620,Election de Nemours (Witness) DUVAL, Etienne Source: Source n° 61
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FRAISSE, Louis Jérôme (Sosa 64) × 1779 ROUSSEAU, Christine Catherine Victoire (Sosa 65) | °20 septembre 1745 Egreville,77620,Election de Nemours - vers 21 septembre 1792 Torbeck- Partie Sud D'Haïti, Haïti |
FRAISSE, François Benoit | Naissance: 3 mars 1746 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 53 Baptême: 4 mars 1746 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 54 Décès: Egreville?,77620
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FRAISSE, Justin François | Naissance: juillet 1747 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 56 Décès: 6 septembre 1747 à Egreville,77620,Election de Nemours, âge: 1 Remarque: prénomé Justin François lors de son déces. Source: Source n° 56
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FRAISSE, Marie Catherine Rosalie × 1775 PINET, Philippe Denis | °22 août 1748 Egreville,77620,Election de Nemours - Merinville?,91660 |
FRAISSE, Pierre Marie | Naissance: 2 janvier 1750 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 73 Baptême: 3 janvier 1750 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 73 Décès: 28 juin 1794 à Haïti,Les Cayes D
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FRAISSE, Thérèse Françoise | Naissance: 20 janvier 1751 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 74 Baptême: 20 janvier 1751 à Egreville,77620,Election de Nemours,Election de Nemours Le parrain, Antoine François Graiseau notaire à la confèrie du testament de la halte seignerie fut représenté par Jean batiste François FRAISSE frère de l'enfant, Jean batiste à signé. (jean François ?) Source: Source n° 74 Décès: 18 avril 1794 à Montargis Source: Source n° 76 a reçu et signé l'inventaire de: 16 novembre 1778 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 75
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FRAISSE, Louise Catherine × 1778 DELORME, Louis | °16 mars 1753 Egreville,77620,Election de Nemours - Bazoches sur le Bez?,45,Loiret |
FRAISSE, Marie Françoise | Naissance: 3 octobre 1754 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 71 Baptême: 2 octobre 1754 à Egreville,77620,Election de Nemours,Election de Nemours (Witness) PAYNEAU, Marie Anne Louise Source: Source n° 71 Décès: après 5 juin 1794 à Montargis? Ou Sens? Département du Loiret District de Montargis Pétition présentée le six juin 1794 par Marie Françoise Fraisse AU COMITE DES SECOURS PUBLICS "Cinq enfants en bas âge orphelins de Père et de mère et leur tante constamment infirme réclament la bienfaisance nationale. Leur position est digne de fixer la sollicitude du Comité deSecours. Ces enfants nés aux Cayes de Parents français ont été successivement envoyés en France depuis 1789 auprès de leurs tantes filles domiciliées à Montargis qui ne vivaient que par les secours de leurs frères établis en Amérique et auprès des quelles les enfants devaient trouver de l'éducation et une mère qu'ils avaient déjà perdue. Le Père a eu soin de faire passer les fonds suffisants pour l'entretien de ses enfants et de leurs deux soeurs, mais depuis deux ans il est mort, l'une des tantes, celle qui jouissait d'unebonne santé est morte aussi et l'autre infirme reste sans ressource avec cinq enfants ; aucune nouvelle ne lui parvient des Isles en ce qui peut concerner les propriétés du Père de cesmalheureux enfants si ce n'est qu'elle vient de recevoir une lettre de l'un de ses frères qui était resté en Amérique après le départ des enfants par la quelle il lui marque qu'il a été prispar un corsaire anglais en se rendant en France et qu'il était pour l'instant retenu comme prisonnier à Londres. Elle n'entend point parler des héritiers Montandonné son correspondant à Nantes qui était chargé et qui s'acquittait régulièrement de lui faire passer des secours, attendu que les scellés ontété apposés chez lui comme parent d'émigré. Dans cette circonstances d'inquiétude et sans aucune ressource, tous ses petits moyens épuisés, la fille Fraisse impotente paralysée sur la moitié de ses membres et survivante à une soeur quiélevait ses neveux et ses nièces ; gémitau milieu d'eux et n'a pour son alimentation que le recours vers la bienfaisance nationale dont elle sollicite un secours soit gratui soit à titred'avance sous l'hypothèque des fonds pouvant se trouver faits chez le dit Montandonné son correspondant à Nantes et sous celle des biens situés en Amérique et qui appartiennent aux cinqenfants Fraisse. Nota: les deux aînées sont parties d'Amérique en Août 1789 par le navire ST NICOLAS Capitaine Massé et les trois autres le 31 décembre 1792 par le navire LES DEUX SOEURS capitaine Vaillant et tous débarqués à Nantes Montargis le dix sept Prairial de l'an deux de la République une indivisible et impérissable." signé marie Françoise Fraisse __________________________________________________________________________ (Françoise Thérèse étant celle des deux soeurs qui est morte en premier):
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|-----FRAISSE de BORDEAUX, Pierre (Sosa 256) |-----FRAISSE, Louis François (Sosa 128) |-----BOTTU de LA FÉRANDIÈRE, Marianne | (Sosa 257)
FRAISSE, Louis Jérôme (Sosa 64)
|-----MAUGIRARD, Pierre (Sosa 258) |-----MAUGIRARD, Anne-Catherine (Sosa 129) |-----DELON, Catherine (Sosa 259)
| Baptême: 20 septembre 1745 à Egreville,77620,Election de Nemours Source: Source n° 62 Décès: vers 21 septembre 1792 à Torbeck- Partie Sud D'Haïti, Haïti Source: Source n° 63 (Document fait pour établir son testament en 1792) : Extrait du registre de baptême, mariage et information de la ville et paroisse Notre Dame de l'assomption des Cayes du fond de l'Ile à vaches, côte De saint Domingue partie sud. Le 25 mai 1779 après publication de 3 bancs faite pendant 3 dimanches ou fêtes consentifiés au procès de la paroissiale dans l'église Notre Dame de l'Assomption des Cayes dufond, savoir la première le 9 du présent jour le dimanche. La seconde le 13 Jour de l'Ascension et la troisième, le 16 jour : le dimanche sans qu'il se soit trouvé aucun empêchement civil, nous curéde la dite paroisse des Cayes, après avoir reçu les consentements mutuels des parties avons conjoint en légitime mariage suivant les lois du royaume et en la forme prescrite par le congrès detrente, le sieur Louis Jérôme FRAISSE, domicilié et habitant en cette paroisse fils du légitime mariage de feu sieur Louis François FRAISSE en son vivant bourgeois et résident en la paroissesaint Martin d'Egreville section de Nemours diocèse de SENS Dame Anne Catherine Maugirard feu père et mère du dit Louis Jérôme FRAISSE natif du dit lieu d'Egreville majeur d'âge stipulant pour lui et son père avec d'une part et demoiselle ChristineCatherine Victoire ROUSSEAU fille du légitimemariage de Pierre Bertrand ROUSSEAU habitant en cette paroisse, quartier de la RAVINE ANCE Et de dame Catherine Elisabeth VAN DROOGENBROCK ses père et mère mineure d'âge, native de la paroisse Saint Christophe de RUREMONDE Duché de GUELDIN procédante au dit mariage de l'avis duconsentement et pour l'autorité des sus dit pere et mère D'autre part en foi de quoi ont figuré avec nous les . Et au sus dit les parties consentantes le père et la mère de lacontractante Sieur " Louis Claude Benois" de LA MOTTE, avocat en parlement, sieur Jean batiste GERARD, sieur Simon LONGUE FOSSE, Médecin en chirurgie, et sieur Jean MERRE habitant dans cetteplaine du fond, 4 témoins requis ainsi que plusieurs autres parents et amis qui ont à la célébration du mariage ainsi figuré au registre C.E. ROUSSEAU, Louis FRAISSE, A.ROUSSEAU, née VAN DROOGENBROCK, ROUSSEAU l'aîné, LONGUE FOSSE, GERARD ,MERRE Louis Benoît de LA MOTTE, B.J. ROUSSEAU, fils de M. L. FRAISSE, DURVILLE, MORAL, Pierre FRAISSE, BOUCHER MOREL fils, DURVILLE, LICARD, PELLERIN de LA BUXIERE fils F CARRIERRE, curé. ___________________________________________________________________________ 25 sept. 1780, j'ai baptisé Louise Marie Catherine née le 16 juin 1780 fille en légitime mariage de sieur Louis Jérôme FRAISSE habitant en cette plaine et de dame Christine Catherine nativeROUSSEAU les père et mère Le parrain à été Etienne FRAISSE oncle patricial de l'enfant habitant cette plaine Et la marraine Dame Catherine Elisabeth VAN DROOGENBROCK grand-mère maternelle de l'enfant En foi de quoi j'ai figuré le dit jour et an que dessus, avec le parrain et la marraine le père et lamère de l'enfant et d'autres parents qui ontassisté à la cérémonie du baptême ainsi figuré au registre M. E. FRAISSE, ROUSSEAU aîné, CE. ROUSSEAU née VAN DROOGENBROCK, ROUSSEAU, FRAISSE, RADOUX de RERIFERAY, C. DEROUSERAY, Louis FRAISSE F CARRIERE, curé. ___________________________________________________________________________ Le 15 du mois de mars 1783, j'ai baptisé Anne Victoire BONNE née le 5 Juill. 1781 fille en légitime mariage du sieur Louis Jérôme FRAISSE, habitant en cette paroisse et de dame, CatherineChristine Victoire ROUSSEAU les père et mère. Le parrain a été Pierre Bertrand ROUSSEAU grand-père de l'enfant. La marraine Dame Anne Lissarde MARTIGNAC épouse de M. FRANCOIS MARTIGNAC, habitant en cette paroisse. En foi de quoi nous avons signé avec le parrain et la marraine et le père de l'enfant, ledit jour et an grâce dessus ainsi Signé au registre : ROUSSEAU l'aîné, Lissarde, Louis FRAISSE F. CARRIERRE, curé. ___________________________________________________________________________ Le 2 oct. De l'année 1784, j'ai baptisé Louis Pierre né le 10 avril de la même année fils en légitime mariage de sieur Louis Jérôme FRAISSE et de demoiselle Catherine Christine VictoireROUSSEAU les père et mère habitant en cette paroisse Le parrain a été sieur Pierre Marie FRAISSE oncle paternel de l'enfant, habitant au Fond. Et la marraine Dame Louise Marie Catherine FRAISSE sour de l'enfant. En foi de quoi nous avons signé le dit jour et an ainsi que dessus avec le père le parrain de l'enfant et autres parents etamis qui ont assisté à la cérémonie La marraine ne sachant lire. Ainsi signé au registre : Sieur FRAISSE, L. FRAISSE, LONGUE FOSSE, La PLACE et BLACE Vicaire. ___________________________________________________________________________ Le 16 sep. 1788 a été inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps de dame Catherine Christine Victoire ROUSSEAU âgée d'environ 25 ans native de RUREMONDE en Brabant, fille de sieurPierre Bertrand ROUSSEAU et de dame Catherine Elisabeth VAN DROOGENBROCK et épouse du sieur Louis Jérôme FRAISSE habitant la ravine à anse précédante En foi de quoi nous avons signé ainsi signé au registre, M.L.FRAISSE, TAPIAU, TRICOU RIGAL, LA BARRIERE NIGUETOUTREBON vicaire. ___________________________________________________________________________ Eugènie Charlotte FRAISSE née le 16 septembre 1785, fille en légitime mariage de Sieur Louis Jérôme FRAISSE, habitant de cette paroisse quartier de la ravine à l'Ance et de défunte dameCatherine Christine Rousseau à été baptisée par nous curé soussigné ce jourd'hui 14 juillet 1789. Elle a eu pour parrain le Sieur Charles La PLACE BELLE VUE habitant de CAVAILLON, Pour marraine, demoiselle Anne Victoire Bonne FRAISSE sa soeur ont figuré avec nous le parrain et le père du dit enfant, la marraine étant trop jeune pour savoir signer, ainsi figuré au registre C.E. ROUSSEAU née VAND BROCK, ROUSSEAU l'aîné, La PLACEBELLE VUE, Pre FRAISSE, M L. FRAISSE, Tardif de LA BORDERIE, Curé. ________________________________________________________________________ Eugène Joseph FRAISSE né le 24 juin 1785 fils en légitime mariage du sieur Louis Jérôme FRAISSE habitant en cette paroisse quartier de la Ravine à L'anse et de défunte demoiselle CatherineChristine Victoire ROUSSEAU a été baptiséepar nous curé soussigné aujourd'hui 14 juillet 1789 Il a eu pour parrain le sieur Bertrand Joseph _ROUSSEAU son oncle maternel qui a signé avec nous, Pour marraine demoiselle Eugènie Charlotte FRAISSE sa sour qui n'a pas signé étant trop jeune. Ainsi signé au registre, ROUSSEAU l'aîné, CE ROUSSEAU née VAN DROOGENBROCK, LA PLACE BELLE VUE, L. FRAISSE, ML FRAISSE, ROUSSEAU Fils, P..FRAISSE Tardif de La BORDERIE, Curé. ___________________________________________________________________________ Collationné le 2 Oct. 1792 signé Tardif de La BORDERIE, curé Extrait du registre des sépultures de la paroisse saint Joseph de TORBECK, partie sud de SAINT DOMINGUE. Le 22 sep. 1791 a été enterré dans le cimetière de la paroisse le corps de Louis Jérôme FRAISSE âgé d'environ 45 ans fils du légitime mariage de Louis François FRAISSE et dame CatherineMAUGIRARD natif de la paroisse de saint MARTINd'Egreville diocèse de SENS habitant dans la paroisse des CAYES décédé par l'habitation ESMANGART dite ROCHESTER dépendante de cette paroisse En foi de quoi j'ai signé BOUCHERIE, ROUILLON, RIGAL NIGUET, BOURGEOIS BERTHELOT, CHAUSSON, B.RENEANNE RENEANNE Notaire Je certifie les présents extraits conforme à l'original à TORBECK le 2 oct. 1792 Signé JOULLAIN, curé de TORBECK ________________________________________________________________
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Famille FRAISSE - ROUSSEAU | Mariage: 25 mai 1779 à Haïti Source: Source n° 9
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|-----ROUSSEAU, Pierre (Sosa 260) |-----ROUSSEAU, Pierre Bertrand (Sosa 130) |-----BONIOT, Marie Catherine (Sosa 261)
ROUSSEAU, Christine Catherine Victoire (Sosa 65)
|-----VAN DROOGENBROCK, Elisabeth (Sosa 131)
| Naissance: vers 1763 à Ruremonde, Brabant,Belgique Décès: 15 septembre 1788 à Haïti,Haiti Source: Source n° 20
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Les 5 enfants du couple FRAISSE - ROUSSEAU | |
FRAISSE, Louise Marie Catherine | Naissance: 16 juin 1780 à Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti Source: Source n° 67 Baptême: 25 septembre 1780 à Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti Source: Source n° 67 Décès: Montargis? Profession: (Voir note) Partie d'Amérique (de saint Domingue) chassées par la révolte des esclaves, en 1789, sur le navire saint Nicolas capitaine Massé avec Anne Victoire. Elle est morte très jeune.
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FRAISSE, Anne Victoire Bonne × DAQUEVOEUVILLER | °5 juillet 1781 Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti - Montargis? |
FRAISSE, Louis Pierre | Naissance: 10 avril 1784 à Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti Baptême: 2 octobre 1784 à Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti Source: Source n° 64 Décès: disparu durant les guerres de l'empire. Parti de Saint Domingue le 31 12 1792, avec Eugénie charlotte et Eugène Joseph (après que la caferie familiale des Fraisse est été brulée lors de révolte des esclaves en 1792) Ils sont partis par le navire "Les deux soeurs" Capitaine Saillant. Tous ont débarqués à Nantes et ont été confié aux soins de leurs tantes maternelles, domicilié à Montargis. Sans ressource et orphelins, ils ont du implorer des secours publiques de l'état. Par la suite Louis Pierre prendra à sa charge son frère Eugène et ses soeurs. Louis Pierre a disparu durant les guerres de l'empire, sans postérité.
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FRAISSE, Eugénie Charlotte × LAVOCAT | °16 juillet 1785 Les Cayes du Fond de L'Ile à Vaches,Haiti - Paris?,75000 |
FRAISSE, Eugène Joseph (Sosa 32) × 1816 BEUTIER, Nancy (Sosa 33) | °14 juillet 1789 Quartier de la Ravine à L'Anse, Haïti - 28 avril 1861 Nantes,44000 |